Adverteerder / Annonceur: MARC JACOBS
Product-Dienst / Produit-Service: Parfum
Media / Média: Affiche
Beschrijving van de reclame / Description de la publicité
L’affiche montre une femme assise, adossée à un mur. Elle tient un flacon de parfum en main.
Texte : « Marc Jacobs – Divine Décadence ».
Klacht(en) / Plainte(s)
Selon le plaignant, la position est clairement pornographique et évoque la violence. La jeune femme est acculée contre un mur. Les enfants les plus âgés étaient dégoûtés et les plus jeunes choqués pensant que la femme avait été agressée. Cette publicité se trouve à proximité de toutes les écoles (sur tous les abribus).
Beslissing Jury in eerste aanleg: Geen opmerkingen
Décision Jury de première instance: Pas de remarques
De Jury voor Ethische Praktijken inzake reclame (JEP) in eerste aanleg heeft de volgende beslissing genomen in dit dossier.
De Jury heeft vastgesteld dat de affiche een vrouw toont die zittend tegen een muur leunt. Ze houdt een parfumflesje in de hand.
Volgens de Jury geeft de houding van de vrouw een sensuele en geen seksuele connotatie weer en volgt de reclame de codes die gewoonlijk gebruikt worden in de wereld van de parfums.
De Jury is eveneens van mening dat de reclame geen geweldadig gedrag suggereert.
Gelet op het voorgaande, is de Jury van oordeel dat deze affiche geen elementen bevat die indruisen tegen de geldende fatsoensnormen.
Zij is eveneens van oordeel dat haar inhoud niet van aard is om mentale of morele schade toe te brengen aan kinderen of adolescenten.
De Jury is derhalve van oordeel dat deze affiche niet in strijd is met artikels 1 alinea 2, 2 en 4 alinea 3 van de Code van de Internationale Kamer van Koophandel of met de JEP-regels inzake de afbeelding van de mens.
Bij gebreke aan inbreuken op wettelijke of zelfdisciplinaire bepalingen, heeft de Jury gemeend geen opmerkingen te moeten formuleren op deze punten.
Gelieve er nota van te nemen dat deze beslissing pas definitief wordt na het verstrijken van de termijn voor het instellen van hoger beroep.
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Le Jury d’Ethique Publicitaire (JEP) de première instance a pris la décision suivante dans ce dossier.
Le Jury a constaté que l’affiche montre une femme assise, adossée à un mur. Elle tient un flacon de parfum en main.
Selon le Jury, l’attitude de la femme présente une connotation sensuelle et non sexuelle et la publicité adopte les codes habituellement employés dans l’univers du parfum.
Le Jury est également d’avis que la publicité ne suggère pas de comportement violent.
Compte tenu de ce qui précède, le Jury a estimé que cette affiche ne contient pas d’élément contraire aux convenances selon les normes actuellement admises.
Il a également estimé que son contenu n’est pas de nature à causer un dommage sur le plan mental ou moral aux enfants ou aux adolescents.
Le Jury a donc estimé que cette affiche n’est pas contraire aux articles 1 alinéa 2, 2 et 4 alinéa 3 du Code de la Chambre de Commerce Internationale ni aux Règles du JEP en matière de représentation de la personne.
A défaut d’infractions aux dispositions légales ou autodisciplinaires, le Jury a estimé n’avoir pas de remarques à formuler sur ces points.
Veuillez noter que cette décision ne devient définitive qu’après l’expiration du délai d’appel.