Adverteerder / Annonceur: GREENSIDE
Product-Dienst / Produit-Service: Hydrokube
Media / Média: Internet (Instagram)
Beschrijving van de reclame / Description de la publicité
Le post contient une photo de l’appareil promu et en dessous, la mention « Adoucisseur d’Eau sans Sel. Découvrez les avantages de notre adoucisseur d’eau au CO2 alimentaire » et le logo Hydrokube.
Klacht(en) / Plainte(s)
Le plaignant a communiqué que le mot adoucisseur est trompeur car un adoucisseur enlève complètement le calcaire de l’eau (magnésium et calcium) alors que le traitement par CO2 ne le fait pas.
Beslissing Jury in eerste aanleg: Geen opmerkingen
Décision Jury de première instance: Pas de remarques
Le Jury d’Ethique Publicitaire (JEP) de première instance a pris la décision suivante dans ce dossier.
Le Jury a pris connaissance de la publicité avec la mention « Adoucisseur d’Eau sans Sel. Découvrez les avantages de notre adoucisseur d’eau au CO2 alimentaire » et de la plainte à son égard, selon laquelle le mot adoucisseur serait trompeur.
Suite à la réponse de l’annonceur, le Jury a pris note des différents éléments avancés par ce dernier pour démontrer que le terme adoucisseur au CO2 est utilisé depuis longtemps dans la profession pour désigner des appareils de traitement d’eau au CO2, et résulte d’une évolution de langage qui mène à un terme générique que l’annonceur juge approprié pour décrire son produit dont l’objectif pour le grand public est de neutraliser le calcaire dans l’eau de distribution.
Le Jury est d’avis que, dans le langage courant, la dénomination ‘adoucisseur’ ne se limite pas aux adoucisseurs utilisant du sel, et que dans l’esprit du consommateur moyen qui cherche un adoucisseur, le but principal est de prévenir la formation de dépôts de calcaire en vue notamment de prolonger la vie des appareils électroménagers, ce qui correspond aussi au fonctionnement des appareils utilisant du CO2 et non du sel.
Il est donc d’avis que l’utilisation du terme ‘adoucisseur’ dans cette publicité ne crée pas de confusion dans le chef du consommateur moyen, d’autant plus qu’il y est précisé qu’il s’agit d’un adoucisseur sans sel, au CO2.
Le Jury a dès lors estimé que la publicité concernée n’est pas de nature à induire le consommateur moyen en erreur sur ce point.
A défaut d’infractions aux dispositions légales ou autodisciplinaires, le Jury a estimé n’avoir pas de remarques à formuler sur ce point.
Veuillez noter que cette décision ne devient définitive qu’après l’expiration du délai d’appel.