Adverteerder / Annonceur: GLAXOSMITHKLINE
Product-Dienst / Produit-Service: Voltaren Emulgel Forte
Media / Média: TV
Beschrijving van de reclame / Description de la publicité
Le spot TV commence avec le visage boudeur d’un garçon qui dit au revoir à ses parents qui l’ont déposé chez sa grand-mère.
Garçon : « Encore une journée chez ma grand-mère et son éternel mal au genou ».
La grand-mère l’embrasse et l’emmène en souriant vers la maison.
On les voit jouer à genoux avec des voitures téléguidées et ensuite sur une balançoire à la plaine de jeux. Puis la grand-mère arrose son jardin et asperge le garçon qui rigole.
Garçon : « Elle a changé mais quel est son secret ? ».
VO : « Elle utilise Voltaren Emulgel Forte pour soulager ses douleurs articulaires. Voltaren Emulgel Forte, un gel anti-inflammatoire qui pénètre en profondeur dans les articulations et qui ne doit être appliqué qu’une seule fois toutes les 12 heures. Comme elle, essayez Voltaren Emulgel Forte. Voltaren, bouger redevient un plaisir. »
Texte à l’écran : « Voltaren® Emulgel® (diclofénac diéthylammonium) est un médicament. Pas d’utilisation prolongée sans avis médical. Ne pas utiliser chez les enfants de moins de 14 ans, en cas d’hypersensibilité aux anti-inflammatoires non stéroïdiens ou lors de la grossesse. Lisez attentivement la notice, et demandez conseil à votre médecin ou pharmacien. GlaxoSmithKline Consumer Healthcare S.A. VF 341/01-2019. »
Klacht(en) / Plainte(s)
Pour le plaignant, cette publicité, qui montre un gamin chez sa grand-mère qui en utilisant le produit promu devient pour lui une personne fréquentable, est une honte par le commentaire mis dans la bouche de cet enfant. C’est pour lui de l’irrespect de la faiblesse évolutive des aînés et le rapport jeune-vieux ne peut être mis en scène de cette manière.
Le plaignant souligne de plus que la publicité est quasi mensongère dans la mesure où le produit n’a aucun effet réel sur l’arthrose et autres affections dégénératives.
Beslissing Jury in eerste aanleg: Geen opmerkingen
Décision Jury de première instance: Pas de remarques
De Jury voor Ethische Praktijken inzake reclame (JEP) in eerste aanleg heeft de volgende beslissing genomen in dit dossier.
De Jury heeft vastgesteld dat de Tv-spot een jongen toont die door zijn ouders wordt afgezet bij zijn grootmoeder. In het begin klaagt hij dat hij een dag moet doorbrengen bij zijn grootmoeder met haar eeuwige kniepijn, maar vervolgens speelt hij vrolijk met haar en stelt hij vast dat ze veranderd is.
Wat het eerste punt van de klacht betreft, is de Jury van mening dat in de Tv-spot de woorden van de jongen niet getuigen van een gebrek aan respect ten aanzien van zijn grootmoeder. Volgens de Jury beperken ze zich tot het illustreren van hoe de oudere persoon in kwestie haar gewrichtspijnen aanpakt, door een voor-en-na situatie te tonen. De Jury is eveneens van mening dat de grootmoeder op een positieve manier voorgesteld wordt.
Zij is derhalve van mening dat de gemiddelde consument deze reclame niet zal opvatten als een aantasting van de menselijke waardigheid van oudere personen en dat de reclame niet van aard is om een persoon of een groep van personen te kleineren.
Bij gebreke aan inbreuken op wettelijke of zelfdisciplinaire bepalingen, heeft de Jury derhalve gemeend geen opmerkingen te moeten formuleren op dit punt.
Wat het tweede punt van de klacht betreft, heeft de Jury vastgesteld dat op het einde van de Tv-spot de tekst op het scherm onder andere het visumnummer “VG 341/01-2019” bevat.
Ingevolge het antwoord van de adverteerder en de documenten die hij heeft meegedeeld, heeft de Jury er nota van genomen dat deze Tv-spot inderdaad een voorafgaand visum heeft gekregen na een advies van de Commissie van Toezicht op de reclame voor geneesmiddelen en dit in overeenstemming met artikels 16 en 17 van het KB van 7 april 1995 betreffende de voorlichting en de reclame inzake geneesmiddelen voor menselijk gebruik die bepalen dat de televisuele verspreiding onder het publiek van een reclame enkel mag worden gevoerd na het verkrijgen van een visum afgeleverd door de Minister.
De Jury heeft er eveneens nota van genomen dat de visumaanvraag vergezeld dient te zijn van de onmiskenbare elementen voor de controle van de waarheidsgetrouwheid van de reclame.
Gelet op het voorgaande, heeft de Jury derhalve gemeend geen opmerkingen te moeten formuleren op dit punt.
Gelieve er nota van te nemen dat deze beslissing pas definitief wordt na het verstrijken van de termijn voor het instellen van hoger beroep.
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Le Jury d’Ethique Publicitaire (JEP) de première instance a pris la décision suivante dans ce dossier.
Le Jury a constaté que le spot TV montre un garçon que ses parents ont déposé chez sa grand-mère. Au début, il se plaint de passer une journée chez sa grand-mère avec son éternel mal au genou mais joue ensuite joyeusement avec elle et constate qu’elle a changé.
En ce qui concerne le premier point de la plainte, le Jury est d’avis que dans le spot TV, les propos tenus par le garçon ne témoignent pas d’un manque de respect envers sa grand-mère. Selon le Jury, ils se contentent d’illustrer, en évoquant une situation avant/après, comment la personne âgée en question fait face à ses douleurs articulaires. Le Jury est également d’avis que la grand-mère est présentée de manière positive.
Il a dès lors estimé que le consommateur moyen ne percevra pas cette publicité comme portant atteinte à la dignité humaine des personnes âgées et que la publicité n’est pas de nature à dénigrer une personne ou un groupe de personnes.
A défaut d’infractions aux dispositions légales ou autodisciplinaires, le Jury a estimé n’avoir pas de remarques à formuler sur ce point.
En ce qui concerne le deuxième point de la plainte, le Jury a constaté qu’à la fin du spot TV, le texte à l’écran mentionne entre autres le numéro de visa « VF 341/01-2019 ».
Suite à la réponse de l’annonceur et aux documents qu’il a communiqué, le Jury a noté que ce spot TV a en effet reçu un visa préalable après un avis de la Commission de contrôle de la publicité des médicaments et ceci, conformément aux articles 16 et 17 de l’AR du 7 avril 1995 relatif à l’information et à la publicité concernant les médicaments à usage humain qui stipulent que la diffusion télévisuelle auprès du public d’une publicité ne peut avoir lieu qu’après l’obtention d’un visa délivré par le Ministre.
Le Jury a également noté que la demande de visa doit être accompagnée des éléments indubitables pour le contrôle de la véracité de la publicité.
Compte tenu de ce qui précède, le Jury a donc estimé n’avoir pas de remarques à formuler sur ce point.
Veuillez noter que cette décision ne devient définitive qu’après l’expiration du délai d’appel.