Adverteerder / Annonceur: LIDL
Product-Dienst / Produit-Service: Broden / Pains
Media / Média: TV
Beschrijving van de reclame / Description de la publicité
Le spot TV se déroule ainsi :
Voix off : « Les pains fourmidables de Lidl vous rendent créatifs. Ah, la bonne idée. Une grande tranche de qualité pour un grand garçon. (une maman met le pain dans la trancheuse du supermarché dans l’autre sens et donne une grande tranche de pain à son garçon dont on ne voit même pas le visage tellement il est grand) Tellement moelleux et croustillant qu’ils vous rendent aussi perfectionnistes. Pile poil au milieu. (un homme regarde des jumelles qui se concertent pour déterminer où il doit placer son couteau pour couper un sandwiche en deux parties égales) Ou encore mélomanes. Ooh, la jolie voix. (un grand-père tend une tranche de pain à son petit enfant qui rigole puis pleure quand le grand-père la retire et bat la mesure sur fond musical. Le grand-père lui donne ensuite la tranche de pain et l’enfant sourit) Les pains de chez Lidl, des pains fourmidables à prix tranchés. Lidl, pour tous ceux qui comptent. »
Klacht(en) / Plainte(s)
Selon la plaignante, un enfant n’est pas un instrument ni un faire-valoir pour un article.
Beslissing Jury in eerste aanleg: Geen opmerkingen
Décision Jury de première instance: Pas de remarques
De Jury voor Ethische Praktijken inzake reclame (JEP) in eerste aanleg heeft de volgende beslissing genomen in dit dossier.
De Jury heeft kennisgenomen van de tv-spot in kwestie en van de klacht die daarop betrekking heeft.
Zij heeft vastgesteld dat de spot op humoristische wijze verschillende situaties uit het dagelijks leven toont om te illustreren dat de gepromote producten je creatief, perfectionistisch of muzikaal maken.
De scène die het voorwerp uitmaakt van de klacht toont een grootvader die voor zijn kleinkind zorgt.
De Jury is van mening dat wanneer de grootvader doet alsof hij het kind een sneetje brood geeft en het vervolgens terugtrekt, dit vooral een spel is dat het grote publiek als zodanig zal herkennen en dat, hoewel er op een gegeven moment gehuil te horen is, het kind daarna lacht.
Zij is ook van mening dat het ludieke en overdreven karakter van de reclame onmiskenbaar duidelijk zal zijn voor de gemiddelde consument en dat de scène in kwestie geenszins de instrumentalisering van een kind uitbeeldt, noch ongepast is voor het overbrengen van een commerciële boodschap.
In deze context is de Jury van oordeel dat de gebruikte situatie geen devaluatie of misbruik van de menselijke persoon uitmaakt, noch de waardigheid van het kind aantast.
Zij is ook van oordeel dat de reclame geen antisociaal gedrag uitlokt of daartoe aanzet.
Zij is derhalve van oordeel dat de betrokken reclame niet indruist de JEP-Regels inzake de afbeelding van de mens en evenmin getuigt van een gebrek aan een behoorlijk maatschappelijk verantwoordelijkheidsbesef in hoofde van de adverteerder op deze punten.
Bij gebreke aan inbreuken op wettelijke of zelfdisciplinaire bepalingen, heeft de Jury gemeend geen opmerkingen te moeten formuleren op deze punten.
Gelieve er nota van te nemen dat deze beslissing pas definitief wordt na het verstrijken van de termijn voor het instellen van hoger beroep.
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Le Jury d’Ethique Publicitaire (JEP) de première instance a pris la décision suivante dans ce dossier.
Le Jury a pris connaissance du spot TV et de la plainte qui le concerne.
Il a constaté que le spot met en scène avec humour différentes situations du quotidien pour illustrer le fait que les produits promus rendent créatifs, perfectionnistes et mélomanes.
La scène visée par la plainte montre un grand-père qui s’occupe de son petit-enfant.
Le Jury est d’avis que quand le grand-père fait mine de lui donner une tranche de pain puis la retire, il s’agit surtout ici d’un jeu que le grand public reconnaîtra comme tel et que, si on entend des pleurs à un moment, l’enfant sourit ensuite.
Il est également d’avis que le caractère ludique et décalé de la publicité sera indéniablement clair pour le consommateur moyen et que la scène visée ne représente aucunement l’instrumentalisation d’un enfant et n’est pas non plus inappropriée pour transmettre un message commercial.
Dans ce contexte, le Jury estime que la situation utilisée ne constitue pas une dévalorisation ni une exploitation abusive de la personne humaine et ne porte pas non plus atteinte à la dignité de l’enfant.
Il considère également que la publicité n’évoque pas et n’incite pas à un comportement antisocial.
Il a dès lors estimé que la publicité concernée n’est pas contraire aux Règles du JEP en matière de représentation de la personne et ne témoigne pas non plus d’un manque de juste sens de la responsabilité sociale dans le chef de l’annonceur sur ces points.
A défaut d’infractions aux dispositions légales ou autodisciplinaires, le Jury a estimé n’avoir pas de remarques à formuler sur ces points.
Veuillez noter que cette décision ne devient définitive qu’après l’expiration du délai d’appel.