TOURING ASSURANCES – 17/05/2011

Position de l'annonceur

L’annonceur a communiqué que l’objectif de cette campagne est d’utiliser le ton de l’humour et du second degré en détournant les codes du monde de la mode et des cosmétiques tout en faisant référence à l’assurance et au rôle « humain » de nos conseillers qui ne font pas qu’assurer des véhicules mais qui « s’occupent » du conducteur en tant que personne.
La notion de conseil, de contacts humains et d’approche personnalisée est essentielle pour un assureur direct (traditionnellement perçu comme distant, froid et impersonnel). 140 personnes s’occupent chaque jour de nos clients au mieux, de manière personnalisée.
Ce point est expliqué en détails au travers de la communication below the line: mailing adressé et non adressé, bannering Internet et sur le site web qui reprennent point par point les éléments permettant d’affirmer que Touring Assurances est en mesure d’assurer un conseil de qualité. Les conseillers mettent par exemple en avant le produit d’assurance « assurance conducteur » destiné à couvrir les dommages corporels du conducteur (produit vendu à 70% des clients, alors que les autres modes de distribution oublient généralement de le conseiller à leur clientèle). Les clients pensent surtout à leur voiture, Touring Assurances pense à eux autant qu’à leur voiture.

Autrement dit, il ne s’agit pas d’une approche gratuite avec la volonté de choquer ni d’aborder la cible avec un message à caractère sexiste ou dégradant l’image de la femme mais au contraire d’une campagne fondée sur de réels arguments produits et services.

Afin de prévenir tout malentendu, ce message a été testé avant publication auprès de deux panels de consommateurs (quali). Les résultats de ce pré-test ont mis en évidence certes le côté séducteur mais aussi la bonne acceptation de la campagne et la compréhension du message. L’approche finalement utilisée dans cette campagne avait pour principal avantage de convenir à l’ensemble des sondés, tant masculins que féminins, francophones et néerlandophones.
Enfin, la campagne étant déclinée tant avec un visuel féminin que masculin, il ne semble pas à l’annonceur que cette campagne soit sexiste, machiste ou insultante à l’égard des femmes (1 affiche avec un homme s’adresse aux femmes, 1 autre avec une femme s’adresse aux hommes (répartition 50-50)).